Du haut d'une colline

Zarbog et ses fantomes arrivèrent aux collines du Rohan. Il observa tout autour de lui. Saroumane avait raison: les troupes Ourou avaient mis fin aux agissements des hommes de Eomer, mais une troupe se déplaca vers Edoras. Elle avancait vite.

- Vite, dit Zunaz le guerrier fantome, les hommes se retirent, rattrapons les.

Si seulment Saroumane aurait vu sa. Les fantomes avaient dévalés les pentes à une vitesse folle. On vit presque des lumière passer. Les hommes quant à eux se contentèrent d'avancer avec leur chevaux. Ils n'avaient pas encore vu qui venait vers eux.

Tou d'abord Zarbog se cacha derriere un rocher. Il fit les comptes. 13 soldats dont 4 cavaliers. C'était faisable. Ils étaient proches, très proches. Presque la.

- Dégainez les épées dit Zarbog.

Ils étaient assez proche maintenant, ces sales hommes. Zarbog apparut avec ses 7 fantomes dans un brouillard épais.




- ATTAQUEZ, dit Zarbog

Un des cavaliers avait déja crié: Des démons!

- Ceux la la ne portent pas la main de Saroumane, dit un autre.

Les épées commencèrent à se cliquetiser. Les fantomes arrivaient à esquiver les coups, mais pas à attaquer. 3 hommes à terres décochèrent des fleches. Heureusment, c'était des fantomes. Un des hommes qui avait l'air d'etre leur chefs lanca:

- Repoussez-les vers les crevasses.

C'était innatendu. Zarbog dit:

- Ne les laiisez pas ces crétins vous mettre au trou. Défendez-vous au nom de Saroumane.

Finalement les fantomes n'étaient pas si médiocre. Il restait plus que les 4 cavaliers. Soudain Zarbog s'exclafa. Il vit au loin une troupe de 6 cavaliers qui venaient. Quel besogne. Pas question de perdre.

Les fantomes continuant à se battre comprirent qu'ils avaient du mal.



Finalement ils arrivèrent à rester égaux. Pas pour longtemps.

- Reformez la ligne, soldtas. Une attaque en front, dit un homme.

Sa ne se passera pas comme sa. L'épée que les Ourouk de Saroumane avait conféctioné, elle était puissante. Il l'utilisa contre ces hommes. Les tetes s'envolèrent, décapité. Il ne restait plus que le porte étendard. Il étai blessé par terre, souffrant de tout ses membres.

- Alors, dit Zarbog fièr, tu as envie de mourir ou pas? Dit-le!
- Crétin d'orcs! Vous ne serez jamais maitres du Rohan. Théoden vous tuera.
- AH AH AH AH AH rirent les fantomes.
- Tu sais, dit Zarbog, nous ne sommes pas des orcs imbecile, mais des revenants. Tu aurais pu le voir !

... L'homme regarda. Il était perdu. Zarbog lanca:

- Va-t-en , crétin. Va dire à ton seigneur que le Rohan n'est qu'une maison de chaume ou les loups de l'Isengard tardent d'attendre leur nourriture. Dis lui que son destin est scellé. Dis lui que Saroumane aura le Rohan au creux de sa main. Et dis lui que je lui reserve bonne accueuil en enfer. Va!

Le soldat s'enfuit avec le peu de force qu'il lui reste. Zarbog retourna vers l'Isengard, mais avant, il lui restait une chose à faire.