Défense des ruines

Les soldats de la Cité Blanche arrivèrent vers midi dans les ruines d'Osgiliath après avoir marché toute la matinée sous un soleil de plomb. Faramir à la tête du convoi alla parler au petit groupe qui protégeait d'habitude la cité et leur expliqua qu'ils venaient pour les relever et qu'ils pouvaient repartir à Minas Tirith. La quinzaine de soldats quittèrent les ruines peu après cela, bien heureux d'echapper au sinistre endroit, tandis que des feus de camp étaient allumés et que tout le monde prenait son poste. Assis prêt d'un petit feu non loin de l'Anduin, l'Intendant se laissa plonger dans ses pensées, se demandant pour la 100eme fois si son frère était vraiment mort ou si c'était seulement son cor qui par malchance s'était brisé dans la rivière avant d'être emporté par le courant. Fermant les yeux et retenant ses larmes à l'idée que son frère puisse être mort, il fini par se relever et se dirigea vers les eaux. Un groupe de 500 soldats allait être envoyé en reconnaissance sur l'autre rive pour vérifier que les orques n'étaient pas là. Lorsque l'information sera confirmée, le Capitaine de la Cité Blanche verait s'il faudra envoyer des troupes en plus grand nombre sur l'autre rive. Les hommes avancèrent courageusement sur le pont, épées et boucliers levés, et finirent par disparaitre dans les ruines sur l'autre rive. Après quelques temps d'attente, ils revinrent et expliquèrent au Prince de l'Ithilien que les ruines étaient désertes. Hochant la tête, il ordonna d'envoyer 1500 hommes de l'autre côté pour tenir les défenses et de garder 1000 hommes en arrière-garde au cas où ils seraient submergés par le nombre des ennemis. Des barricades furent construites avec des planches et des blocs de pierre pour stopper la progression ennemi en cas d'attaque et des balistes et des catapultes furent montées sur la rive ouest pour arrêter les ennemis en cas d'assaut vraiment puissant. Content de ses plans, il retourna à la rivière pour se reposer un peu du côté Ouest. Il prit donc un peu de repos bien mérité sur le sol avec pour seul support pour sa tête son sac...

Arthadel qui avait récuperé ses guerriers là où ils leur avait dit d'attendre, ils prirent tous la route en direction d'Osgiliath, d'abord en marchant puis Arthadel fit un signe et toute la compagnie se mit à courir avec de longues enjambés. Le soleil commença à disparaitre derrière les montagnes de l'ouest. Ils arrivèrent à l'entrée d'Osgiliath, et comme à Minas Tirith, des gardes les interpelèrent, Arthadel qui n'avait pas envie de parler fit signe à son Commandent en Second, il arriva près des gardes et montra un parchemin tout en leur expliquant que son chef était devenu allié avec le Roi Aragorn et qu'il lui avait demandé de venir soutenir Osgiliath.
Ils pénétrèrent dans la ville. Ils établirent leur campement, un peu au-delà du bord du fleuve de l'Anduin

Edit Faramir : Corrigé !

Faramir se réveilla soudainement lorsqu'il entendit des voix venant de l'entrée Ouest de la cité en ruines. Il se leva et se dirigea vers le groupe de Mercenaires dont un représentant expliquait la raison de leur présence à un soldat qui était de garde de ce côté de la ville. Il approcha, un sourcil froncé et saisit le parchemin écrit de la main du Roi Elessar. Il le relu deux fois avant de lever les yeux vers les nouveaux venus. Il observa ces mercenaires visiblement bien armés et dont la discipline ne laissait rien à redire avant de se tourner vers le représentant des soldats. Il tourna autour de lui et constata qu'il s'agissait d'un guerrier vétéran, mais aussi qu'il était épuisé. Il fit signe à ses hommes d'escorter les renforts dans les ruines d'une tour de garde à l'abri des vents et envoya quérir le chef de la Compagnie en ajoutant que s'il ne se montrait pas, comme il l'avait fait précédemment, prouvant ainsi son manque de manière, Faramir voulait qu'on lui dise qu'on le ferait éjecter d'Osgiliath par la force lui et ses hommes. Il l'attendit dans une tour de garde en bordure du fleuve d'où l'on pouvait voir toute la cité et lorsqu'il arriva, escorté par deux soldats, le Prince de l'Ithilien se tourna vers lui, croisant les bras et l'observant avec un regard neutre. Il s'avança vers lui et le salua à la manière des gondoriens, puis il prit la parole :

"- Salutations, Mercenaire. Je suis Faramir, Capitaine et Intendant du Gondor. Je suis chargé par le Roi de défendre cette cité et tous les renforts ont les bienvenus en ces heures sombres. Cependant, le manque de courtoisie dont vous avez fait preuve m'a un peu gêné et j'avoue que je préfère connaitre mes alliés avant d'envoyer leurs hommes prendre leurs postes dans la cité. Je vous souhaite donc officiellement la bienvenue à Osgiliath ou en tout cas, dans ce qu'il en reste ! Mes hommes vont se charger de donner leurs missions à vos troupes et donc je vous propose de rester avec moi pour le reste de la journée, je pourrais ainsi vous montrer nos divers dispositifs de défense."

L'Intendant attendit la réponse de son interlocuteur après avoir fini de parler.

Arthadel regarda Faramir et se sentit bête, mais ne laissa rien transparaître comme à son habitude. En tant que Commandent, il aurait dû se présenter au préalable avant de rentrer dans la ville.

-Messir Faramir, excusez-moi si vous le voulez bien de mon manque de courtoisie.

Dit Arthadel en faisant une révérence.

-Moi et mes guerriers, nous sommes partis des Montagnes Grises, il y a une semaine et nous sommes arrivés ici aussi vite que possible.
J'en oublie le plus important, je me présente : "Arthadel commandent en chef de la Compagnie de Mercenaires" pour vous servir.
Je voudrais juste savoir si vous connaissez le nombre d'opposants, et pourais-je envoyer quelques uns de mes meilleurs éclaireurs pour rapporter le terrain à mes officiers supérieurs ?

Edit Faramir : Corrigé

Constatant que le jeune mercenaire avait pris conscience de ses actes, Faramir hocha de la tête avec un petit sourire. Il fallait que ce jeune meneur comprenne qu'il n'y avait pas que les armes dans la vie d'un chef et que la courtoisie permettait de se faire des alliés. Pensant qu'Arthadel avait compris la leçon, l'Intendant saisit par l'épaule et l'amena jusqu'au muret servant à éviter à quiconque de basculer du haut de la tour et d'un ample geste du bras, désigna la cité qui s'étendait autour d'eux avant de déclarer amicalement :

"- Alors dans ce cas, Arthadel, bienvenue à Osgiliath ! Je te suis reconnaissant d'être venu me soutenir avec tes hommes même si c'est l'idée du Roi. Car crois moi, ça m'étonnerais que ce qui t'attend ne te paraisse pas apocalyptique ! Les armées d'Angmar vont bientôt déferler sur nos défenses et je crains que ce soit justement ici que le plus gros de leurs forces va frapper. Mes soldats sont peu nombreux mais fidèles à leur Roi et ils se battront jusqu'à la mort pour protéger la cité. Cependant, il n'empêche que nous sommes bien peu de choses face à la multitude des orques crées par l'Oeil et il va falloir du renfort ! Toi et tes troupes êtes un bon début mais je compte tout de même rappeler les rôdeurs de l'Ithilien pour protéger notre ancienne capitale."

Après quelques instants de silence pendant lesquels les deux hommes regardèrent les ruines s'étendant presque jusqu'à l'horizon puis les nuages noirs recouvrant le ciel à l'Est, le Prince d'Ithilien soupira et murmura :

"- Ce sont de sombres jours qui approchent et nous ne pouvons pas faire face seuls... Sans le soutien des elfes et les nains, même moi je doute de nos chances de parvenir à bout du Mordor..."

Au même instant, un soldat du Gondor armé d'une lance et équipé de l'armure brillante des soldats de Minas Tirith s'approcha et après avoir salué Faramir respectueusement, lui tendit un message. Il provenait d'une personne qu'avait connu le Capitaine pendant son enfance et avec qui il entretenait encore des relations amicales. Il déplia le parchemin et pu lire ceci :

A Faramir, Prince de l'Ithilien, Intendant de la maison royale de Minas Tirith et Capitaine du Gondor

Le 26 Septembre 3022 du Tiers Âge

Cher ami,

L'heure est grave ! L'ombre qui s'étend à l'Est n'est pas votre seul ennemi. Les gobelins des Monts Brumeux se préparent à déferler de leurs galeries dans les Montagnes pour envahir les pays des hommes par le Nord. Prenez garde aux frontières et informez le Roi dès que possible. Je suis en route pour les Mines de Moria pour essayer de ralentir leur avancée. Gardez courage en votre force et en la foi qu'ont vos hommes pour la Cité Blanche et protégez votre pays vaillament. J'essayerais de venir vous soutenir dès que possible.

Gandalf le Gris

Après avoir lu le message, l'Intendant blêmit un peu plus qu'il ne l'était déjà à cause de la situation et tendit le message au Mercenaire avant de s'appuyer à la rambarde, assez découragé.

Arthadel regarda le message et le lu, il releva la tête et dit a voie basse:

-Gandalf.... Le Pèlerin Gris.....j'ai un peu entendu parler de lui dans le nord, bien que je ne l'aie jamais vu.

Le Commandant en Second arriva et salua Faramir et Arthadel

-Bien Kazuma, où sont mes Capitaines et lieutenents?

-Commandant, comme vous le savez le Capitaine Takashi est déja présent, pour les 3 autres Capitaines. Un se trouve à l'est et les deux autres sont dans la Forêt Noire. Ils ont tous répondu au message envoyé, je vais vous détailler leurs réponses.

Kazuma, à la fin de la lecture, prit la seconde missive, hésita un moment, mais fini par la lire.

A l'écoute de la missive, Arthadel bien qu'en colère resta calme. Il pris la missive et la brûla

-Commandant Arthadel, je n'ai toujour pas compris pourquoi garder une personne qui vous méprise?

-Pourquoi! parce qu'il est fort, certe il me méprise, mais il a peur de moi je l'ai déja vaincu en duel. Il m'insulte mais il n'ira jamais plus loin. Excuser moi Faramir, j'ai de loyaux hommes, mais une minorités sont d'anciens Hors-la-lois.

Arthadel et son Second partirent rejoindre le campement ou se trouver leurs Guerriers

Faramir hocha de la tête lorsque le mercenaire parti rejoindre ses hommes et lui-même demanda à un messager près être descendu de la tour de partir en Ithilien pour rallier les rôdeurs du Sud et les ramener à Osgiliath. Gandalf avait beau être un grand magicien, jamais il ne parviendrait à stopper une armée de gobelins plus d'un jour ou deux. Il fallait que le maximum de soldats se dirigent vers Osgiliath car l'association des armées de Moria et de Minas Morgul pouvait sonner le glas des peuples libres de la Terre du Milieu et plus directement de Minas Tirith. Il demanda à un autre de ses messages de se rendre à Minas Tiri autre missive de l'Intendant qu'il venait tout juste d'écrire ( Je vais l'envoyer par MP à Aragorn ). Une fois que cela fut fait, il fit transférer la totalité des soldats dans la partie orientale de la ville ( côté du Mordor ) pour pouvoir contenir leurs ennemis en dehors d'Osgiliath le plus longtemps possible, ce qui permettrait aux renforts de s'organiser avec un minimum de calme dans la partie occidentale. Une fois que tout le monde fut à son poste dans les ruines à la droite de l'Anduin, Faramir envoya quérir les techniciens qui les avaient accompagnés pour leur demander de monter des catapultes et des trébuchets avec le bois qu'ils trouveraient à l'intérieur des ruines.

L'un de ses subordonnés s'approcha et lui donna un plan de la ville sur lequel on pouvait voir où étant placés chacun des groupes de soldats, les points stratégiques et les directions par où arriveraient chacune des armées ennemis. Faramir savait que le plan pouvait changer à chaque instant si lui ou ses ennemis recevaient des renforts et il demanda à l'homme de faire parvenir un double de ce plan à Arthadel pour qu'il puisse placer convenablement les mercenaires dans la rue principale où il avait été affecté lui et ses hommes. Les nouveaux venus se trouvaient à une place déterminante, juste derrière le gros des troupes, car ils devraient protéger le pont en cas de percée ennemi. Le Capitaine avait décidé d'être en première ligne pour monter le moral des troupes pendant les affrontements et ses rôdeurs seront placés dans les bâtiments entourant la rue principale pour pouvoir tirer sur les orques avec le minimum de pertes. Les réserves d'armes étaient concentrées dans la partie occidentale mais le Capitaine décidé d'en placer une au Nord de la rue principale au cas où. Le donjon en ruines de la cité, qui dans le temps était le palais royal, était protégé par 350 soldats, pas plus, pour permettre aux mercenaires d'avoir un lieu de replis en cas de défaite majeure, même s'ils seraient rapidement encerclés par l'ennemi s'ils s'abritaient dans le grand bâtiment. Le dernier pont encore utilisable de la cité était protégé par quatre tours avec des catapultes et l'autre rive était déserte, bien que le Prince de l'Ithilien aurait voulu que les alliés du Gondor envoient des renforts qui pourraient se rassembler dans la partie occidentale. Le plan était prêt, il fallait donc à présent que Faramir se dirige vers les Portes Est pour prendre le commandement...

[ Arthadel, tu peux te faire un rp seul avec tes soldats dans un sujet à part en attendant. Moi, je vais mettre en place la bataille avec les autres joueurs. J'espère qu'on pourra jouer la bataille d'ici quelques jours si les admistrateurs sont d'accords. Je posterai moi-même le sujet de la bataille dès que tout sera mis en place. ]

La Carte : Défense des ruines Image2un1

La Légende : Défense des ruines Image4ku4

Legolas venait d'arriver épuisait il vit Arthadel et Faramir et il dit :

- Bonjour , je suis Legolas de la Forêt Noire , je vien aider les homme dans leur tache.

Legolas attendez en voyant des archers le viser et il s'exclama :

- C'est trop vous demandez de baissez vos arc à moin qu'il faille utiliser la manière forte.

Un rire passa dans les rangs de soldat et l'un de s'exclama :

- Qui nou dit que tu n'est pas un espion ?

Legolas eu un petit sourire et regarda Arthadel.

Arthadel qui était sortit de la tour, avait vu l'elfe se faire arreter par des guerriers du gondor, il approcha, soupira et fit signe a Kazuma son Commandent en second

Kazuma: Pourquoi l'arreter vous?! C'est un elfe, je doute que sa soit un ennemi. En plus d'après les arme et habit j'en déduit qu'il vient de la Forêt noire. Laissez le passer!

Les Gardes se retournèrent et eurent des frissons, parce que bien qu'ils savent qu'ont étaient alliées, ils avaient quand même peur des Mercenaires, qui étaient en nombre dans cet partit de la ville, sourtout si les chef supérieurs étaient en colère. Sans tourner la tête Arthadel dit très calmement et d'une totale indifférence

-vous pouvez partirent, allez!

Les Gardes partirent a tout vitesse, sans se retourner. Puis Arthadel regarda l'elfe

Il regarda de nouveau Arthadel et dit :

- Je te remerci.

Il rajouta en regardant ses soldats :

- Vu la peur qu'ils ont de vous vous devez être important ?

Il eu un petit sourire puis il rajouta :

- Combien son les énemie a peu prêt ?

Faramir fut averti par un soldat de l'arrivée des elfes et courut jusqu'à eux dans la grande rue, près du pont. Les mercenaires d'Arthadel étaient déjà présents et accueillaient les troupes de Legolas. Il salua le Prince de Forêt Noire et l'invita à placer ses troupes avec celles des Mercenaires pour protéger le pont. Les ennemis n'étaient pas encore là mais le travail de Faramir était loin d'être terminé et il demanda donc à Arthadel d'accueillir les elfes comme il se doit et de leur expliquer la situation. Il repartit donc à l'entrée de la ville.

[ Excusez-moi du petit rp mais bon j'ai plein de choses à faire donc essayez de rester au même endroit à discuter jusqu'à ce que je fasse le sujet de la bataille. ]