Demande a parlementer

Arthadel arriva a pied et vit au loin Minas Tirith, il donna ses ordres et laissa ses hommes en sécuriter, son second et son meilleur Capitaine l'accompagnèrent. Ils traversèrent les Champs du Pelennor et arrivèrent devant les portes, un des gardes le reconnu, Arthadel était connu comme un des plus Grands Brigants du Nord, bien que pas justifié

-je voudrais parlementer avec un responsable, pour une demande

Le garde scruta les trois mercenaires et appela son sergent

Sergent: Nous allons vous y conduire, mais vos armes, si vous nous faites un mauvais tour au cachot!

Arthadel et ses deux subordonnés donnèrent toutes leurs armes au guerriers du Gondor.

Edit Faramir : Corrigé mais attention à la ponctuation !

Apreès que les gardes eurent saisis les armes du jeune inconnue se présentant devant Minas Tirith, ils partirent chercher leurs roi, partit se reposer dans sa demeure après avoir donné des ordres à Faramir. Le brigant fut alors laissé seul sous la surveillance des archers postés sur les remparts de la Cité Blanche. Les gardes monterent les niveaux rapidement et bousculèrent certaines personnes en lançant des "Desolé !" à toute allure. Arrivé au sommet de la cité, il s'avancèrent devant les gardes de Cour de la Fontaine postés devant l'immense porte de bois et leur demendèrent de les laisser passer pour voir le roi. Les gardes s'écartèrent et les hommes s'engoufrèrent dans la demeure. Aragorn était assis sur son fauteuil comme s'il savait qu'un homme demenderait à voir le Roi du Gondor. Bref, il laissa les gardes s'approcher et s'incliner avant que l'un d'eux ne declare :

Garde : Mon seigneur, un homme demande à vous voir.

Aragorn : Bien, repartez en bas et attendez ma venue. Je serai prêt dans un instant.

Les gardes s'agenouillèrent à nouveau et partirent avant de disparaitre dans l'embrasure de la porte. Comme l'avait ordonné Aragorn, ils repartirent devant le brigand et ne dirent aucun mot. Aragorn, quand à lui, se leva de son trône et prit le chemin des écuries. Arrivé dans le vieux bâtiment, il avança vers un box et prit son cheval avant de le chevaucher pour partir à la rencontre de cet homme. Aragorn descendit à toute allure les niveaux de Minas Tirith et après quelque minutes, il arriva devant l'homme qui l'avait fait demander. Aragorn descendit de son destrier et s'avança vers l'homme. Il le salua et regarda les gardes en leurs faisant signe de les laisser. Après que les gardes furent partis, Aragorn reconcentra son regard vers l'homme avant de déclarer:

Aragorn: Et bien, que me voulez-vous ?

Edit Faramir : Corrigé !

Aragorn attendit donc que le jeune brigand parle. Il demanda tout d'abord à ses mercenaires de s'écarter avant que celui-ci ne commence à parler. Aragorn écouta attentivement son discours puis, après quelque minutes de silence, il se mit à reflechir. Etait-ce une bonne idée de laisser passer, sur ses terre, des brigants recherchés ? Mais d'un autre côté, Arthadel lui proposait ses services et il en aurait bien besoin face aux armées du Mordor. Que faire ? D'un autre côté, il ne pratiquait plus le vagabondage mais un brigand pouvait-il oublier son métier pour rejoindre le droit chemin ? Bref, Aragorn fixa alors Arthadel puis il regarda autour de lui avant de déclarer sérieusement :

Aragorn: -J'accepte votre proposition mais à mes conditions. Tout d'abord, plus aucun vagabondage sur mes terres et sur celles de mes alliés. Ensuite, vous jurez de servir le Gondor et mes intérêts à chaque instants. Et pour finir, vous ne venez pas à Minas Tirith pendant quelque temps. Histoire que toutes vos erreurs se tassent. Apres cela, vous irez rejoindre Faramir, Capitaine et intendant du Gondor à Osgilliath, là-bas, vous défendrez la cité et y vivrez. M'avez-vous comprit ? Plus de vagabondages, un libre service envers le Gondor, une vie indefinie à Osgilliath. Si ceci est accepté, partez sur le champ vers Osgiliath et parlez au capitaine Faramir. Dîtes-lui que le Roi du Gondor lui envoie des troupes. Sur ceux, j'attends votre reponse.

Sur ces mots, Aragorn se retourna et monta sur son cheval tout en continuant de fixer le jeune homme devant lui. Avait-il bien fait ? Peut-être bien que non mais en tout cas, à présent que Osgilliath possédait une bonne défense, Aragorn et Mnas Tirith étaient en sécurité. Peut être qu'il devrait former des alliances mais pour l'instant le Gondor se portait bien. Toujours en attendant la reponse de Arthadel, Aragorn jeta un bref regard sur le soleil couchant éclairant les champs du Pelenor.

Edit Faramir : Corrigé !