le destin d'un roi...

Le soleil venait en peine de se lever sur la petite contrée du Gondor et toutes les personnes etaient déjà debout. La belle et grande cité de Minas Tirith s'élevait peu à peu dans un brouhaha dut aux nombreuses personnes discutant de tout et de rien en bas de la cité. Un petit rayon de lumière traversa la petite fenêtre d'une des chambres du haut de Minas Tirth et réussi a réveiller Aragorn, fils d'Arathorn et descendant d'Isildur. Aragorn ouvrit donc un oeil, puis l'autre et se leva doucement de son lit couvert de draps blanc comme neige. Ensuite, il s'avança vers la porte de sa chambre et la poussa pour laisser percevoir la grande salle d'accueil du Gondor. En face de lui, gisait une table où était posé de nombreuses victuailles offertes par les citoyens de la cité. Un peu plus à gauche, on pouvait apercevoir un trône avec une image gravée sur celui-ci : l'arbre sacré du Gondor. Aragorn s'avança alors et un homme s'approcha de lui et lui tendit sa couronne posée sur un petit coussin de soie. Aragorn attrapa la couronne et la posa sur sa tête avant de remercier l'homme pour enfin aller prendre place à sa table. Il commença alors à manger tout en reflechissant à un tas de choses. Puis, quand il eut fini de manger, il se leva et alla s'armer. Il attrapa sa cote de maille suivi d'un plastron, de jambièrres, de genouillères, de coudièrres, d'un arc qu'il plaça sur son dos avec son carquois puis il attrapa son épée, la même épée que celle d'Isildur, celle qui avait servi à son ancêtre pour trancher le doigt où se trouvait l'Anneau Unique. Cette épée s'était brisée mais, par la suite, Elrond, Roi de Fondcombe l'avait reforgé avant de la donner au descendant d'Isildur : Aragorn. Depuis quelques années, cette épée avait beaucoup servi à Aragorn et celui-ci espérait qu'elle lui servirait encore. Après s'être vêtu de son armure, il ouvrit une porte en bois devant lui et pu enfin apercevoir toutes les splendeurs de la cité de Minas Tirth. Devant lui, il pouvait voir un arbre, celui du Gondor, son symbole. De plus, derrière l'arbre, s'étendait une balustrade qui, quand on arrivait au bout, donnait sur tous les alentours de la cité. Aragorn s'avança donc et pu admirer ce magnifique paysage. Au loin, il pouvait apercevoir Osgilliath, l'un des avant-postes de Minas Tirith. Aragorn l'avait récupéré il n'y a pas si longtemps et avait decidé d'envoyer quelque hommes à cet avant-poste pour le defendre car, à part Osgilliath, Minas Tirith ne disposait d'aucune défense excepter son mur d'enceinte. Bref, Aragorn se tourna et d'un geste de main, il ordonna à une personne de sa cour de faire amener son cheval. Après que ceci fut fait, Aragorn monta sur sa monture et commença à descendre doucement les marches de la cité de Minas Tirith. Sur son chemin vers la porte, il put entendre des "Vive le roi !" et des "Il va nous protéger des menaces du Mordor !"...Arrivé devant la porte, il put apercevoir 2500 soldats du Gondor prêts partir. Apparement, ces soldat étaient fidèles à leur Roi, donc à Aragorn. Il se mit alors devant eux et les fixa tous avant de déclarer:

Aragorn: -Aujourd'hui, soldats du Gondor, vous avez pour devoir de protéger la cité d'Osgilliath qui est la seule defense de Minas Tirith ! Pour vos femmes et vos enfants, défendez-là en cas d'attaque. Si les forces du Mordor sont trop nombreuses, replier-vous et sonnez le cor d'alerte pour que nous puissions couvrir vos arrieres. Ne perdez pas votre vie dans une cause perdue ! Vous serez sous le commandement du Capitaine Faramir de Gondor. Ne contestez aucun de ses ordres, me suis-je bien fait comprendre ?

Après ces paroles, un grand oui se fit entendre puis, les portes du Gondor s'ouvrire doucement dans un grincement sourd et indistinct. Puis les gardes commencèrent à avancer vers Osgilliath. Aragorn regarda son armée se déplacer à pas réguliers vers l'espoir de Minas Tirith. Puis quand il put apercevoir le dernier homme sortir de la cité, il odonna la fermeture des portes, remonta sur son destrier et repartit vers sa demeure en haut de Minas Tirith. Arrivé en haut, il ordonna a un garde d'aller ramener son cheval a l'écurie. Aragorn rentra alors dans sa demeure et alla s'installer sur son trône, prêt à entendre les plaintes des habitants et les éventuels ambassadeurs des autres peuples venant demander une alliance avec le Gondor. Quand à Aragorn, il travaillait en ce moment à une alliance entre les nains, les elfes et les hommes. Grâce à cette alliance, ces trois peuples pouraient facilement repousser les offensives du Mordor et même le detruire à tout jamais. Mais cette idée n'était quand préparation. Peut être que quelqu'un se présentera et exosera son souhait. En tout cas, Aragorn ne desirait que la paix et la prospérité pour son peuple et pour ses amis.

Edit Faramir : Corrigé !

Faramir, à présent Prince de l'Ithilien et Intendant du Gondor, se leva en ce beau matin d'été dans la citadelle de Minas Tirith qui prospérait depuis quelques mois. Mais les espions du Gondor relevaient des déplacements inquiétants d'orques sur l'autre rive de l'Anduin et le Roi Aragorn Elessar avait dépêcher l'Intendant sur place pour protéger l'ancienne capitale d'Osgiliath contre les troupes de l'Oeil. Encore assis sur son lit, les yeux à demi-ouverts, se grattant le menton, il prit son courage à deux mains et se leva pour aller se laver et s'habiller. Il revint dans la chambre un quart d'heure plus tard, vêtu d'une cuirasse en cuir renforcé sur laquelle le blason de l'arbre blanc était gravé, un pantalon en tissu noir en dessus duquel il portait un pantalon en maille. Il avait également prit des bottes de marches, une ceinture à laquelle était attaché sa dague et son épée, une cape verte feuille avec capuchon qui cachait l'arc qu'il avait accroché dans son dos ainsi que son carquois rempli de flèches empennées de plumes vertes. Il se rasa, sachant qu'il n'en aurait pas l'occasion avant longtemps puis saisit sa sacoche dans laquelle il conservait sa nourriture et sortit de sa chambre. Il marcha à travers la cité, saluant ceux qu'il connaissait et s'arrêta aux écuries, où il prit son armure, semblable à sa cuirasse mais en acier, avec le même signe de l'arbre blanc dessus. Il mit un casque du Gondor puis scella son cheval. Il attrapa la bannière du Gondor puis grimpa sur son destrier puis parti au galop jusqu'à l'entrée de la ville. Il s'arrêta devant ses hommes en rang puis attendit le Roi. Il arriva enfin et leur souhaita de bien servir leur pays. Lorsqu'il eut fini, faramir cria en brandissant la bannière :

"- Pour le Gondor !"

Et les 2500 soldats crièrent en coeur :

"- Pour le Gondor !"

Il cria ensuite en brandissant à nouveau le drapeau :

"- Pour le Roi !"

Et à nouveaux les Gondoriens, ainsi que la foule qui s'était rassemblé là crièrent à pleins poumons :

"- Pour le Roi ! Pour le Roi !"

Puis les portes de la cité s'ouvrirent dans un bruit de ferraille assourdissant et la légion se mit en marche, l'Intendant à sa tête, en direction d'Osgiliath.